Union départementale des syndicats Solidaires des Ardennes
Bienvenue sur le premier site syndical interprofessionnel ardennais.
Crée le 12 décembre 2005
Manifestation du 11 septembre 1911 contre la vie chère. Le citoyen Boutet exhortant le groupe de Braux au calme.
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Contacts syndicaux
Pour contacter l'Union départementale Solidaires vous pouvez :
- Venir aux permanences juridiques en droit du travail, tous les lundis après-midi, Bourse du travail 21 rue Jean-Baptiste Clément à Charleville-Mézières : plus de renseignement en cliquant
ici
-nous téléphoner : 06.95.56.68.21
- nous envoyer un courriel à l'adresse suivante : solidaires08@orange.fr
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Le conseil de l'UD Solidaires se réunit le premier jeudi de chaque mois au local de la Bourse du travail à partir de 14 h, 21 rue J.B.Clément à Charleville-Mézières.
Actualité des syndicats
Solidaires industrie
Plusieurs sections syndicales ont été crées dans l'industrie des Ardennes, pour contacter le syndicat de l'industrie : 06.95.56.68.21
Un syndicat Sud Santé Sociaux s'est constitué dans les Ardennes, pour le contacter : 06.95.56.68.21
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Sommet de Bruxelles : usine à gaz à austérité
Les décisions prises à Bruxelles visent une fois de plus à renflouer les banques et à infliger une austérité permanente aux classes ouvrières de l’Europe. Aucune des causes profondes de la crise économique, financière et des dettes souveraines ne sont traitées dans ce nouveau pacte européen pris à marche forcée contre la volonté des peuples.
Pire, cette politique d’austérité augmente encore plus le risque de nous enfoncer
dans la récession et préserve l’emprise des marchés financiers sur les Etats.
Les banques vont pouvoir continuer pendant trois ans à obtenir des liquidités à
des taux dérisoires auprès de la BCE et continuer à prêter aux Etats à des taux
prohibitifs. La spéculation sur les dettes souveraines ne va pas s’arrêter, l’avidité
des marchés financiers est sans limite.
L’usine à gaz entre le FMI et le Fonds européen de stabilité financière, nouvelle
version, consacre les dogmes libéraux qui refusent toute possibilité de
financement direct des Etats par les banques centrales.
Les déficits publics et son corollaire la dette publique, se sont aggravé avec la
crise, mais la cause essentielle est la politique pratiquée par les gouvernements
européens depuis des décennies, le résultat de la dilapidation de l’argent public
en cadeaux fiscaux aux classes aisées et aux entreprises, de la fraude fiscale des
classes dominantes.
Rien de tout cela n’est remis en cause et ce sont aux salariés‐es, chômeurs et
retraité‐es, auxquels ils veulent faire payer la note.
Il est grand temps de reprendre le chemin des mobilisations dans toute l’Europe
pour imposer d’autres choix économiques et sociaux.