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Solidaires des Ardennes


Union départementale des syndicats Solidaires des Ardennes


Bienvenue sur le premier site syndical interprofessionnel ardennais.
Crée le 12 décembre 2005



Manifestation du 11 septembre 1911 contre la vie chère. Le citoyen Boutet exhortant le groupe de Braux au calme.
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Contacts syndicaux
Pour contacter l'Union départementale Solidaires vous pouvez :
- Venir aux permanences juridiques en droit du travail, tous les lundis après-midi, Bourse du travail 21 rue Jean-Baptiste Clément à Charleville-Mézières : plus de renseignement en cliquant ici
-nous téléphoner : 06.95.56.68.21
- nous envoyer un courriel à l'adresse suivante  : solidaires08@orange.fr

Vous pouvez lire notre page facebook

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Le conseil de l'UD Solidaires se réunit le premier jeudi de chaque mois au local de la Bourse du travail à partir de 14 h, 21 rue J.B.Clément à Charleville-Mézières.

Actualité des syndicats


Solidaires industrie

Plusieurs sections syndicales ont été crées dans l'industrie des Ardennes, pour contacter le syndicat de l'industrie : 06.95.56.68.21



Un syndicat Sud Santé Sociaux s'est constitué dans les Ardennes, pour le contacter : 06.95.56.68.21

Syndicats adhérents à l'Union départementale
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SPECIAL MOUVEMENT SOCIAL a REIMS
--> Bilan et perspectives du mouvement de février 2009
les videos sur: www.dailymotion.com/user/SUD-REIMS/ 

article de l'union  http://www.lunion.presse.fr/index.php/cms/13/article/250567/ 

ASSEMBLEE GENERALE, LE 19 FEVRIER A 14H – SALLE DES FETES

< De 350 à 800 agents municipaux et communautaires, mobilisés du 2 au 13 février, pour les salaires, les carrières et les précaires

 Du 2 février au 13 février, un mouvement social d’une ampleur et d’une durée inégalées a eu lieu à la Ville de Reims et de Reims Métropole,

 A l’initiative d’une intersyndicale réunissant SUD et la CGT, de 350 agents au début du mouvement jusqu’à 800 (source AFP) à son plus fort ont manifesté et occupé l’hôtel de Ville. Dans les faits, le nombre de collègues ayant cessé le travail est bien supérieur à 800 et dépasse vraisemblablement le millier. En effet, des services complets ont été fermés à plusieurs reprises : médiathèques, courriers, garages, économie, etc…

 Lors des Assemblées générales, syndiqués et non syndiqués ont pu s’exprimer librement et participer aux rencontres avec l’autorité territoriale. La démocratie a été de manière permanente au cœur de l’action.

 Cependant, la situation a revêtu rapidement la forme d’un conflit social relativement dur en raison de l’absence réelle de volonté de l’employeur de prendre en compte l’importance du mécontentement du personnel sur diverses questions :

-         les salaires : 100 € nets par mois pour tous les C

-         les précaires : mise en place d’un plan de résorption de la précarité

-         les carrières : mise en place d’un plan de nomination de tous les agents lauréats d’un concours ou d’un examen professionnel

-         la dégradation du climat social : remise en cause du management autoritaire qui voit certains cadres mépriser au quotidien la catégorie C et opérer une rétention d’information dans le cadre de la réorganisation. Les problèmes existant dans la relation élus – cabinet – fonctionnaires ont été également évoqués.

Dans sa cécité et sa surdité sociales, l’employeur n’a eu de cesse de s’appuyer sur les organisations (FO et la CFDT) restées en dehors de l’intersyndicale et dont les revendications étaient inférieures aux propositions de la municipalité. La pratique des tractations secrètes a connu ses plus belles heures. FO et la CFDT devront s’en expliquer…

La notion même d’indépendance des syndicats à l’égard de l’employeur ou de la sphère politique a été malmenée. Si certains syndicats ont résistés à ces tentatives, ce n’est pas le cas de tous.

Parallèlement, l’autorité territoriale n’a pas hésitée à appeler la police pour réprimer le mouvement social ; un fait unique dans l’histoire syndicale municipale !

< L’employeur contraint de doubler l’enveloppe de négociation de 500 000 € à 1 000 000 € et de discuter des précaires et des carrières

Face à 800 agents qui réclamaient « un million d’€ », correspondant grosso modo à une augmentation d’urgence de 100 € nets par mois, l’employeur a été contraint de reculer et de doubler l’enveloppe qu’il avait initialement prévu.

Il a également été obligé d’entendre la voix des salariés en ce qui concerne les précaires, les carrières, les relocalisation de services et la rétention d’information par une partie de l’encadrement dans le cadre de la réorganisation.

Ce recul de l’autorité territoriale est un acquis majeur du mouvement de février 2009. Il prouve que l’unité et la mobilisation des personnels et de leurs organisations syndicales (en l’espèce SUD et la CGT) est le moyen le plus efficace pour défendre les agents.

Cette reculade pèsera à l’avenir dans les relations entre l’employeur, les syndicats et les personnels. Il y a désormais un avant et un après février 2009. D’ailleurs, nous ne devons pas en rester là, pour deux raisons principalement.

< Poursuivre l’action engagée en février sous d’autres formes

Premièrement, ce qui a été obtenu dans le cadre du mouvement de février n’est pas suffisant. Certes, il y a bien une enveloppe d’1 million d’€. Mais, l’augmentation moyenne sera inférieure à 50 € nets. Celle-ci va laisser sur le carreau de nombreux agents, notamment de la filière administrative. Elle se fera de manière inégalitaire selon « un pyramidage » obscur et alambiqué. Chercherait-on à diviser, les personnels que l’on ne s’y prendrait pas mieux ! Enfin, ce n’est pas avec cette aumône que nos conditions de rémunération s’amélioreront…

Deuxièmement, notre collectivité et ses employés vont être considérablement bousculés par différentes réformes gouvernementales : suppression de la Taxe professionnelle (risque de perte de 60 millions d’€ pour Reims Métropole par an), réforme Balladur (réorganisation des collectivités auxquelles de nouvelles compétences seront transférées avec les personnels mais sans les moyens financiers), réforme de la catégorie B (allongement des carrières et  renforcement des barrières entre grades internes à la catégorie B). Les collègues de catégorie B vont ainsi connaître prochainement un ralentissement dramatique de leur évolution de carrière. Dans les semaines qui viennent, SUD s’adressera en leur direction afin de leur proposer une mobilisation spécifique.

Tout cela rend nécessaire, la poursuite sous une autre forme que la grève du mouvement de février 2009, en participant dès cette semaine à l’Assemblée générale qui aura lieu.

Il y a également la possibilité pour vous de rejoindre un syndicat Solidaire – Unitaire – Démocratique  qui a fait la preuve de sa représentativité électorale, de sa représentativité sociale, de sa combativité et de son indépendance : SUD…

En effet, se syndiquer à SUD, c’est, selon son envie et ses capacités :

-         Participer à des luttes quotidiennes de défense des droits des agents face à la hiérarchie, l’administration et l’employeur en matière de management autoritaire, de congés, de notation, de conditions de travail, etc…

-         Défendre des valeurs syndicales essentielles comme le respect, le service public, l’égalité, la justice, la solidarité et la démocratie ;

-         Pouvoir s’exprimer librement et faire valoir son opinion

Retrouvez les vidéos de la grève : www.dailymotion.com/user/SUD-REIMS/

www.sudct.orgwww.solidaires.org


 

TOUS ENSEMBLE A L’ASSEMBLEE GENERALE

LE 19 FEVRIER A 14H – SALLE DES FETES


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ecrit par solidaires08, à 17:46 dans la rubrique "Agenda".



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