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Solidaires des Ardennes


Union départementale des syndicats Solidaires des Ardennes


Bienvenue sur le premier site syndical interprofessionnel ardennais.
Crée le 12 décembre 2005



Manifestation du 11 septembre 1911 contre la vie chère. Le citoyen Boutet exhortant le groupe de Braux au calme.
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Contacts syndicaux
Pour contacter l'Union départementale Solidaires vous pouvez :
- Venir aux permanences juridiques en droit du travail, tous les lundis après-midi, Bourse du travail 21 rue Jean-Baptiste Clément à Charleville-Mézières : plus de renseignement en cliquant ici
-nous téléphoner : 06.95.56.68.21
- nous envoyer un courriel à l'adresse suivante  : solidaires08@orange.fr

Vous pouvez lire notre page facebook

Nous suivre sur Twitter


Le conseil de l'UD Solidaires se réunit le premier jeudi de chaque mois au local de la Bourse du travail à partir de 14 h, 21 rue J.B.Clément à Charleville-Mézières.

Actualité des syndicats


Solidaires industrie

Plusieurs sections syndicales ont été crées dans l'industrie des Ardennes, pour contacter le syndicat de l'industrie : 06.95.56.68.21



Un syndicat Sud Santé Sociaux s'est constitué dans les Ardennes, pour le contacter : 06.95.56.68.21

Syndicats adhérents à l'Union départementale
SNUI-SUD Trésor
SUD FPA
SUD Activités postales 08
SUD Rail
Sud Rural-Equipement
Sud Santé Sociaux
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Sud Télécoms
SUD Travail Affaires sociales
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Solidaires Industrie
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Usager-es, professionel-les de la santé, élu-es, il est temps de réagir ensemble !
Nous sommes aujourd’hui confrontés à une dégradation de notre système de santé dans son ensemble qui conduit à une limitation de l’accès aux soins pour des millions de personnes. A commencer par les 4 millions de français qui n’ont pas de couverture complémentaire et qui, pour 29% d’entre eux, renoncent aux soins.

La situation des plus précaires, quand à elle, est telle qu’une organisation comme Médecins du Monde parle de « mise en danger coupable ». Nous voyons resurgir des épidémies d’un autre temps tuberculose, rougeole, gale…

Ces difficultés d’accès et le renoncement aux soins qui les accompagne s’étendent désormais à des couches de plus en plus larges de la population.

Or, ce sont les politiques menées ces vingt dernières années qui aboutissent à cette situation : attaques contre la protection sociale, insuffisance de formation et répartition inégale des professionnels de santé, régression des politique sociales, médico-sociales, mise à mal de l’hôpital.

La crise ne fait qu’en accentuer les conséquences par la précarisation accrue de centaines de milliers de personnes.

Les attaques contre la protection sociale

Chaque réforme, chaque projet de loi de financement s’accompagne d’une limitation des prises en charge :
- diminution, voire suppression des remboursements,
- instauration des franchises médicales, forfaits, dont le forfait hospitalier qui s’élève aujourd’hui à 540 euros pour un mois d’hospitalisation,
- remise en cause des prises en charge à 100% dans le cadre des affections de longue durée …

A cela s’ajoutent les dépassements d’honoraires.

Dans certaines villes ou/et pour certaines spécialités, ils sont devenus la règle. 76,6 % des chirurgiens les pratiquent en France.

Dans le Val de Marne, le dépassement moyen pour une consultation de gynéco est de 40 euros…

Diminution et inégale répartition des professionnels de santé.

La répartition des professionnels de santé est inégalitaire : dans certains quartiers ou villes, les zones rurales ou semi-rurales, le nombre de médecins généralistes ne cesse de diminuer. Il en est de même pour les professions para-médicales.

L’allongement des délais de rendez- vous et l’éloignement géographique qui en résultent, constituent un facteur de renoncement aux soins ; dans un sondage IFOP récent, 58 % des personnes interrogées avaient renoncé à un soin en raison des délais d’obtention d’un rendez-vous, 28% en raison de l’éloignement géographique.

Les politiques menées dans le médico-social et le social

Les régressions budgétaires frappent l’ensemble du secteur social et médicosocial accueil du handicap, maisons de retraite, services de soins à domicile, réseaux de soins...

Les coupes sombres imposées au budget du Samu social et de l’hébergement d’urgence jettent à la rue dans des conditions extrêmes des milliers de personnes, des familles, des femmes enceintes, des enfants. C’ en est l’exemple le plus récent et le plus médiatisé.

Comment dans ces conditions assurer le minimum de suivi, de soins quand l’hygiène ne peut même pas être assurée au quotidien ?

L’hôpital mis à mal

Son affaiblissement est fortement accéléré avec la mise en application de la loi Hôpital Patients Santé Territoires. (Loi Bachelot)

•Ce sont des centaines de restructurations et de fermetures qui sont à l’oeuvre aujourd’hui, le plus souvent de façon insidieuse.
Ce sont des restructurations sans concertation, sans évaluation des besoins, basées essentiellement sur des « économies à tout prix » conduisant à des dysfonctionnements, à une baisse de l’offre de soins, à un éloignement préjudiciable.

•L’étranglement financier est organisé par le mode de tarification à l’activité (T2A), et la contrainte d’enveloppes fermées.
L’obligation d’emprunter pour se moderniser, introduit par le plan Hôpital 2007, aboutit aujourd’hui à un endettement des hôpitaux d’autant plus grave qu’il est constitué d’emprunts toxiques (DEXIA).

•Les partenariats public-privé imposés se font au détriment de l’hôpital offrant au privé lucratif les activités les plus rentables.

[POUR VOIR LA TOTALITE DU QUATRE PAGES Cliquez dans "Documents joints"]

Ecrit par solidaires08, à 11:02 dans la rubrique "L'Union Solidaires 08".



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