Union départementale des syndicats Solidaires des Ardennes
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Crée le 12 décembre 2005
Manifestation du 11 septembre 1911 contre la vie chère. Le citoyen Boutet exhortant le groupe de Braux au calme.
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-nous téléphoner : 06.95.56.68.21
- nous envoyer un courriel à l'adresse suivante : solidaires08@orange.fr
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Le conseil de l'UD Solidaires se réunit le premier jeudi de chaque mois au local de la Bourse du travail à partir de 14 h, 21 rue J.B.Clément à Charleville-Mézières.
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Besson ou le Ministère de la désintégration
Le projet de loi relatif à l’immigration, présenté au Conseil des ministres le 31 décembre dernier, transpose dans le droit français trois directives
européennes.
L’objectif de l’immigration choisie au service exclusif des intérêts
économiques
occidentaux et la soit disante chasse aux employeurs utilisateurs de
travailleurs sanspapiers
sont la colonne vertébrale de ce projet.
L’exposé des motifs pare ce projet de loi d’une prétendue volonté de
renforcer
l’intégration des immigré(e)s.
L’hypocrisie de ce gouvernement n’a d’égal que son mépris vis-à-vis
des milliers de
travailleurs et travailleuses sans-papiers qui se battent depuis des
années pour la
reconnaissance de leurs droits sociaux et leur régularisation, comme les
milliers de
grévistes en lutte depuis le 12 octobre dernier.
Il faut dire que pour ce gouvernement, on ne vaut rien en dessous de
BAC+3, même si
depuis des années ces travailleurs immigrés font tourner les secteurs du
bâtiment, de la
restauration, du service à la personne…
L’instauration de sanctions administratives et pénales des
employeurs utilisant des
sans-papiers et un petit pécule pour ces derniers pour solde de tout
compte, assorti
d’une interdiction maximale de 5 ans sur tout le territoire de l’UE, ne
résoudront rien.
Soucieux de l’intérêt des travailleurs sans-papiers, le collectif
des onze organisations
soutenant les grévistes, apporte d’autres réponses dans un texte sur la
régularisation
par le travail.
Cette politique de « bannissement » des étrangers s’accompagne de
mesures
d’extension sur tout le territoire des zones d’attente, de l’allongement
de la durée de
rétention à 45 jours et du retardement de l’intervention du juge des
libertés.
C’est cette politique gouvernementale et son ministère de
l’immigration, qui sont
indésirables, pas les étrangers !