Union départementale des syndicats Solidaires des Ardennes
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Manifestation du 11 septembre 1911 contre la vie chère. Le citoyen Boutet exhortant le groupe de Braux au calme.
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Et voilà le travail !
Les 9 et 10 mars 2010, 500 à 600 militants de terrain de l’union syndicale Solidaires se sont réunis à Paris et Montreuil pour deux journées d’échange, de réflexion et de formation sur les actions des équipes syndicales de « Solidaires » engagées sur les questions du travail... Ils venaient de tous les secteurs professionnels, public, privé, grandes entreprises, industrie, chimie, commerces, banques, etc. Durant la journée du 9 mars, les militants se sont réunis dans une vingtaine d’ateliers pour échanger sur leurs pratiques, leurs expériences, leurs résultats et leurs actions syndicales sur les questions du travail (les restructurations, l’action juridique, le recours aux inspecteurs du travail, les risques psycho sociaux, les pratiques d’enquêtes des CHSCT, l’action sur l’amiante et sur toutes les substances dangereuses, etc . Ce sont plus de 40 heures de débats qui nous ont permis collectivement de progresser et de construire les bases d’actions collectives sur la question du travail.
La journée du 9 mars s’est conclue par la représentation par la Compagnie Naje de la pièce de théâtre-forum « les Impactés », construite à partir du vécu des salariés de France télécom. Ce fut là aussi un moment intense d’échange.
Le 10 mars, nous avons poursuivi nos travaux en séance plénière par le matin deux débats, le premier sur les risques physiques avec la participation d’Attac et de la fondation Copernic, puis sur les risques psycho-sociaux avec le SNPST et la revue Santé et travail. L’après midi fut consacrée à un premier rendu sur le travail en ateliers de la veille suivi par un débat général sur l’action des équipes Solidaires et les perspectives à dégager suite à ces journées. Tout au long de ces deux journées, plusieurs ergonomes, sociologues, médecins, acteurs de la santé au travail au sens le plus large sont venus à notre invitation assister à nos échanges. Nous prendrons appui sur cette expérience pour confronter, enrichir nos points de vue et élargir encore plus les angles d’approches.
Il ressort de ceux deux journées une volonté commune de poursuivre un travail de structuration en réseaux avec la poursuite des échanges qui permettent de dépasser l’isolement dans lequel chacun se trouve, des demandes importantes pour développer des formations indispensables pour tous les représentants du personnel (CHSCT mais aussi CE, DP, Représentants syndicaux...)
Il apparait nécessaire aussi de poursuivre et affermir nos échanges avec des acteurs engagés (réseaux, chercheurs, praticiens, syndicats...) pour parvenir à trouver un ou des cadres communs.
Enfin, pour l’ensemble des centaines de militants présents, il s’agit désormais de trouver les voies pour remettre les questions du travail au coeur de l’action et de l’activité syndicale au même titre que les questions des salaires, de l’emploi et de service public. Cela passe, entre autres, par la démultiplication au niveau des Solidaires locaux des journées « Et voilà le travail » et par la perspective et la préparation d’une résolution spécifique de l’Union syndicale Solidaires pour son congrès 2011.
Paris 12 mars 2010