Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
Soutenez le Secours populaire
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)

Solidaires des Ardennes


Union départementale des syndicats Solidaires des Ardennes


Bienvenue sur le premier site syndical interprofessionnel ardennais.
Crée le 12 décembre 2005



Manifestation du 11 septembre 1911 contre la vie chère. Le citoyen Boutet exhortant le groupe de Braux au calme.
Agrandir l'image

Contacts syndicaux
Pour contacter l'Union départementale Solidaires vous pouvez :
- Venir aux permanences juridiques en droit du travail, tous les lundis après-midi, Bourse du travail 21 rue Jean-Baptiste Clément à Charleville-Mézières : plus de renseignement en cliquant ici
-nous téléphoner : 06.95.56.68.21
- nous envoyer un courriel à l'adresse suivante  : solidaires08@orange.fr

Vous pouvez lire notre page facebook

Nous suivre sur Twitter


Le conseil de l'UD Solidaires se réunit le premier jeudi de chaque mois au local de la Bourse du travail à partir de 14 h, 21 rue J.B.Clément à Charleville-Mézières.

Actualité des syndicats


Solidaires industrie

Plusieurs sections syndicales ont été crées dans l'industrie des Ardennes, pour contacter le syndicat de l'industrie : 06.95.56.68.21



Un syndicat Sud Santé Sociaux s'est constitué dans les Ardennes, pour le contacter : 06.95.56.68.21

Syndicats adhérents à l'Union départementale
SNUI-SUD Trésor
SUD FPA
SUD Activités postales 08
SUD Rail
Sud Rural-Equipement
Sud Santé Sociaux
SNJ
Sud Télécoms
SUD Travail Affaires sociales
Solidaires Protection sociale
Solidaires Industrie
SNUPFEN Solidaires (ONF)

Liens Solidaires

Recherche

Archive : tous les articles

Session
Nom d'utilisateur
Mot de passe

Mot de passe oublié ?


Index des rubriques
Défendre et améliorer les retraites : c’est possible avec une autre répartition des richesses
Nicolas Sarkozy, dans son intervention du 25 janvier, a affirmé vouloir maintenir le niveau des pensions et le système par répartition, et être ouvert à toutes les solutions ! Pour cela, MEDEF et gouvernement devraient s’attaquer enfin à l’inégale répartition des richesses, aux dividendes faramineux des actionnaires, aux écarts de salaires monstrueux, à la liberté de licencier qui fait exploser le taux de chômage et mine les recettes de l’assurance vieillesse… Ce n’est sans doute pas la voie qu’ils vont choisir ! Nous ne sommes pas naïfs : les réformes antérieures ont conduit à une baisse du niveau des pensions qui va se poursuivre dans l’avenir. Au contraire, il faudrait largement améliorer la situation des retraitté-es puisqu’un million vivent en dessous du seuil de pauvreté, qu’une femme retraitée sur trois touche moins de 700 ! par mois et que 600 000 personnes âgées dépendent du minimum vieillesse…

Patronat et gouvernement ont divisé pour régner

1993 : Diminution des pensions du régime général (secteur privé) de 20% en les calculant sur la moyenne des salaires des 25 meilleures années, au lieu des 10, en les indexant sur les prix et non plus les salaires, en attribuant une pension complète pour 40 années de cotisation au lieu de 37,5 ans.

Et en les réduisant d’une décote de 5% par année manquante !

2003 : la Fonction publique subit le même sort et ne conserve qu’un seul avantage, le calcul de la pension sur le salaire des 6 derniers mois. Public et privé passent alors à 41 ans de cotisation et même plus avec un dispositif augmentant automatiquement cette durée des deux tiers de l’augmentation de l’espérance de vie.

2007 : À leur tour, les régimes spéciaux sont victimes de la contre-réforme. Aujourd’hui, Nicolas Sarkozy et son gouvernement annoncent, pour tous les salarié-es du privé comme du public, une nouvelle régression du droit à la retraite. Dans le même temps, il favorise les inégalités en laissant faire, voire en justifiant, les salaires scandaleux des hauts dirigeants, et le niveau de profits jamais atteints pour les actionnaires. Il y a 20 ans, la masse salariale (salaires et cotisations sociales dont la retraite) représentait 70% de la richesse produite (PIB), contre 60% aujourd’hui.

Cette baisse de 10 points de PIB (180 milliards d’euros chaque année) de la part des salaires dans la richesse produite doit être récupérée pour les salaires, la protection sociale (dont lesretraites).

L’Union syndicale Solidaires s’est adressée aux autres organisations syndicales et considère qu’il y a urgence à construire une mobilisation générale interprofessionnelle pour imposer une meilleure répartition des richesses, pour permettre l’équilibre des systèmes de retraite, pour refaire tourner la roue de l’histoire à l’endroit !

Ecrit par solidaires08, à 09:40 dans la rubrique "Agenda".



Modèle de mise en page par Milouse - Version  XML   atom